Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler... Les Bucoliques de Virgile - Page 282by Virgil - 1806 - 341 pagesFull view - About this book
| pabbe henry - 1854 - 806 pages
...Eglogue , le second , dans Ba tragédie de Phèdre. Ut vidi, ut perii , ut me malus abstulit error 1 Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue , Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Theslylis! à mes maux cherche quelque remède; Je ne suis plus à moi , Delphis seul me possède,... | |
| Jean Racine - 1854 - 526 pages
...bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi1 : Je le vis , je rougis,, je pMis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux M voyaient plus , je ne pouvais parler ; PHÈDRE. — Ma mort aura la même cause : l'origine de nos... | |
| Jean Racine - 1856 - 690 pages
...m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa *vue : Un trouble...dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ue pouvais parler: Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux... | |
| Jean Racine - 1856 - 1022 pages
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler: Je sentis tout' mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus... | |
| Pierre-Marie Quitard - 1861 - 438 pages
...l'objet offert à ses yeux fascinés : l't vidi, ut pêrit, ut me malus abstulit error. (Éclog. vin.) Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. (Acte I, se. v.) C'est ce qu'on appelle le coup de fondre en amour, dont l'article suivant donnera... | |
| Jean Racine - 1862 - 684 pages
...m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être^ffermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mou âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Ludwig Herric - 1863 - 980 pages
...Oenone die Entstehung ihrer Liebe zum Hippolyt erklärt. Athènes ÓÐá montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon dîne éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais pleurer; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Académie nationale de Reims (France) - 1876 - 876 pages
...exprimés, d'après Théocrite, avec une extrême énergie. Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue : Mes jeux, ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus... | |
| Élie Rabier - 1886 - 694 pages
...moins vrai de dire ici, suivant le mot de La Rochefoucauld, que « l'esprit est la dupe du cœur *. 1. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue, etc. (RACINE, Phère.) 1. Voy. sur ce sujet les fines analyses de M. Marion, de la Solidarité morale,... | |
| Theocritus, Herbert Kynaston - 1892 - 296 pages
...(¿»»Ð), Bergk. Anthol. Lyr. p. 363, º 2 and ½ÞÓ. Od. i. 13, 6 ; also Racine, Phèdre i. 3 ' Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yenx ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler.' I. 109... | |
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